
AU MAROC DANS UNE VALLEE SACREE…..

La
vallée du mausolé de « Lalla Takerkoust » était sacrée, les
croyances et légendes y étaient nombreuses. Pourtant, le progrès a sacrifié
sans remord, ce lieu religieux, prisé par les berbères de la région. Le mausolé
fut reconstruit non loin du barrage, dans le nouveau village de Lalla
Takerkoust. Un second village, fut également construit pour loger les nombreux
habitants de la vallée : Agargoure. Il se situe à coté du barrage.
(Notre photo : le barrage
Lalla Takerkoust)
Le
barrage a été construit de 1929 à 1935 dans le but de produire de
l’électricité, alimenter en eau potable la région et irriguer la grande plaine
du Haouz. Il produit environ 13 millions de kWh et irrigue aujourd’hui près de 10 000 hectares .
Toutefois, l’envasement du lac réduit ses capacités et il fut décidé entre 1977
et 1982 de le surélever de 9 m ,
portant ainsi sa hauteur finale à 71
m . Long de 357
m , il a été nécessaire d’utiliser pour sa construction plus
de 150 000 m3
de béton et le volume utile du réservoir est de
quelque 78 000 000
m3 . Le lac formé
par le barrage est long de 7 kms. Le lac est longé sur sa droite, par une route
qui se prolonge jusqu’à la moitié environ de sa longueur. (Jusqu’au
« Chalet du Lac » un restaurant fréquenté par la bourgeoisie de
Marrakech et par de nombreux visiteurs et touristes. Ensuite, c’est une piste
longée parfois de mûrs en pisé, que l’on peut emprunter avec des véhicules adaptés.
Elle se prolonge jusqu’à la fin du lac, se poursuit dans la vallée du N’Fis
vers des villages perdus dans la campagne. On peut, en la suivant, déboucher
près d’Amizmiz.
Le lac est aujourd’hui un endroit touristique ou les
Marrakchis viennent l’été passer une agréable journée au bord de l’eau pour
fuir la chaleur de la ville. Quelques petits restaurants, hôtels, complexes
touristiques se sont développés, surtout ces dernières années, pour faire face
à ce besoin de quitter la ville. Toutefois, si un certain nombre de personnes
téméraires s’y baignent, le lac est dangereux (présence de vase), on signale
des noyades et il est officiellement interdit de s’y baigner. La vue sur le lac
avec comme fond, les hauts sommets de l’Atlas est exceptionnelle.
(Notre photo : une vue du
Lac formé par le barrage Lalla Takerkoust appelé à l’origine
« barrage Cavignac ».)
UNE OBSERVATION
SIGNALLEE AU GROUPE OVNI MAROC A MARRAKECH
C’est
dans ce décor féérique qu’un témoin a observé lors d’une soirée d’automne 1999,
un phénomène insolite, qu’à ce jour, on n’a pas encore été en mesure
d’expliquer.

(Notre photo : une vue du
Lac formé par le barrage Lalla Takerkoust appelé à l’origine
« barrage Cavignac.)
Le
cas est intéressant, même s’il n’est pas récent et il mérite une enquête
approfondie afin d’en relever un maximum de paramètres. Les objets plongeant
dans la mer, dans des lacs sont des cas que l’on a souvent rencontrés. Nous convenons d’une entrevue à notre
domicile à Marrakech, avec Mohamed M. qui nous explique ce qu’il sait de cette
affaire. Cela semble digne de foi, même si les informations sont anciennes,
susceptibles de s’être modifiées avec le temps. Les bases fondamentales sont
là. Le témoin présente toutes les caractéristiques d’une personne qui n’invente
pas une histoire, mais qui a seulement observé un phénomène rare. Il ne cherche
pas la publicité et raconte d’ailleurs avec peu de conviction ce qu’il a vu,
comme si cela n’avait aucune importance. Nous convenons avec Mohamed M de
rencontrer le témoin afin qu’il nous donne plus de détails sur ce qu’il a
observé. Le rendez-vous n’a pas été immédiat, c’est seulement au mois de septembre 2012 que la rencontre a
lieu, à Marrakech, dans un petit café.
Un objet plonge dans le lac………. Il en ressort environ deux kilomètres plus loin s’élançant vers le ciel.
Détails de l’objet : 1)
lors de l’apparition 2) lorsqu’il est
sortie de l’eau
UNE OBSERVATION EN DEUX PARTIES
Youssef
G. est originaire d’un petit village situé à environ une dizaine de kilomètres
du lac, dans la vallée de l’oued N’Fis.
Il a une cinquantaine d’année et il a quitté très jeune la campagne pour
tenter de gagner sa vie sur Marrakech, ville située à environ 40 Kms de son
village. Il bricole, tantôt peintre en bâtiment, électricien ou encore maçon,
il a son petit réseau de clients qui font appel à lui pour toutes les tâches
qui entrent dans ces domaines. Il habite dans la médina de Marrakech et survit
car ici, ce travail n’est guère payé, la population est en générale pauvre,
avec toutefois depuis une vingtaine d’années l’arrivée d’européens qui ont
remis en état de nombreux ryads dans la médina, les transformant en véritables
palais. Il parvient alors à faire de « bonnes affaires » comme il
dit, avec ce nouveau type de clients souvent fortunés qui aujourd’hui l’emploi
occasionnellement pour des travaux relevant d’un savoir faire unique dans le
domaine de la réhabilitation de ce patrimoine exceptionnel. Le phénomène OVNI,
il ne le connaît pas car il ne sait pas lire ni écrire et sa principale
préoccupation est d’avoir un minimum d’argent pour manger.

(Notre photo : Après la
route goudronnée, une piste difficile, parfois bordée de murs en pisé)

(Notre photo : une vue du
lac et de l’Atlas en arrière plan)
Il contemple alors ce spectacle insolite sans pouvoir déterminer s’il a à faire à un phénomène naturel ou à la présence d’un objet manufacturé. Il pense toutefois que c’est quelque chose de solide et il l’a alors observé durant au moins 5 secondes à partir du moment ou il l’a vu et le moment ou l’objet a pénétré dans le lac. L’hypothèse d’un bolide, d’une météorite ne résoud pas cette vision, l’objet se déplaçait trop lentement et surtout sa trajectoire était horizontale tout en perdant de l’altitude provenant non pas de l’espace, mais de la vallée, sans traînée lumineuse ou matérielle sur l’arrière. L’hypothèse d’un petit avion ne convient pas, cela n’en avait pas la forme et la chute d’un tel appareil aurait alors fait la une de la presse. Il a seulement observé un objet rond, aux bords lumineux. Rien de plus.
(Notre photo : vue sur un
village en pisé dans la vallée de l’oued N’Fis, quelques kilomètres après la
sortie du lac.)
Mais
l’observation ne s’arrête pas là, car deux secondes plus tard, il voit ce qui
pour lui est le même objet ressortir de l’eau, s’élever à une grande vitesse
vers le ciel. L’objet disparaît rapidement à la verticale dans l’espace. La sortie de cet objet, qu’il situe aux
environs de la moitié du lac, voir un peu plus par rapport à sa position
d’observateur, se fait sans mouvement apparent de l’eau. L’objet s’élève très
rapidement à une vitesse constante, similaire à une étoile filante, il le voit
disparaître en une seconde ! La forme de l’objet est alors allongée,
arrondie aux extrémités qui est pointée vers le ciel pour sa partie supérieure,
toujours estimé à la grosseur du quart de la pleine lune. L’objet à un contour
bien défini, de couleur grise comme de l’aluminium qui a vieilli. Il ne brille
pas, malgré le soleil. Le ciel est d’un bleu pur, sans nuage et il fait très
chaud ce jour là.
Cette
seconde phase de l’observation ne trouve aucune explication et contribue à
renforcer l’intérêt de cette vision. On trouve dans les témoignages recueillis
sur les cinq continents fréquemment des observations d’objets plongeants dans
la mer, dans des lacs, ou encore des témoignages faisant état d’objets sortant
de l’eau, mais plus rarement des cas ou l’objet plonge dans l’eau pour en
ressortir plus loin. On peut estimer, compte tenu de la longueur du lac, à
Carte de la région avec
l’itinéraire suivi lors de notre enquête sur les lieux. (2)
environ
deux kilomètres la distance qu’il semble avoir parcourue sous l’eau. La couleur
de l’objet, au moment de l’apparition, jusqu’à sa disparition n’a pas variée
par rapport à ce qui est décri. Aucune modification ou transformation des
couleurs ou de sa luminosité, ces paramètres semblaient figés. La durée totale
de l’observation a été rapide, décomposée, on arrive à environ 8 secondes. Les
trajectoires étaient rectilignes, sans aucun « zig zag » dans les
deux phases de l’observation et lorsque l’objet est entré dans l’eau puis en
est ressorti, la trajectoire sous l’eau semblait elle aussi rectiligne.
Youssef
a observé ce phénomène dans un parfait silence, c’est la seule fois au cours de
sa vie qu’il est témoin d’une observation d’un objet qui se déplace dans
l’espace et qui est pour lui inconnu. L’objet à aucun moment n’a émis un bruit
quelconque lors de ses déplacements.
Compte tenu de l’éloignement, il ne peut pas dire si pénétrant dans
l’eau ou en sortant de l’eau, il y a eu émission de son ou que ces actions
aient provoqués du bruit. Pour Youssef, aucun remous sur l’eau, aucun bruit,
tout s’est déroulé sans que l’environnement ait été perturbé par les actions
diverses de l’objet dont il a suivi
l’évolution. Youssef à une bonne vue, ce qui est encore le cas au moment de
cette rencontre.
Sortie du Lac Lalla Takerkoust avec une vue sur la vallée d’où provenait l’objet
ICI LES D’JINNS SONT LES MAITRES DES LIEUX !
Youssef a été le seul témoin de cette observation, le
lieu est d’autre part très peu peuplé et il n’y avait pas d’autres personnes
dans l’environnement proche. D’ailleurs, exception la traversée des villages,
il ne rencontrera personne sur sa route qui doit le mener au domicile de sa
famille, situé au delà d’Aït Ben Ali,
l’un des petits villages en pisé situé sur sa route. Ne comprenant pas ce qu’il
a observé, il pensa avoir été témoin d’une expérience secrète de la part de
l’armée. Mais il ne chercha pas à comprendre et immédiatement après son
observation, il a repris sa marche, comme si de rien n’était, par la piste qu’il a l’habitude d’emprunter
depuis de nombreuses années. Il ne parla pas de cette observation à sa famille,
on se serait moqué de lui. Il a évoqué seulement à deux ou trois reprises cette
scène, en présence d’amis et lors de discussions ou ont été évoquées des
informations qui ont un rapport avec le ciel, les étoiles ou les missions
spatiales. Dans les villages éloignés de la civilisation, autrefois, pas
d’école, la majorité de la population ne sait ni lire, ni écrire. Tout ce qu’on
observe et qui semble anormal est alors rapidement assimilé à des légendes, des
croyances où interviennent les pouvoirs surnaturels des d’jinns, évoqués dans
le coran.
Les djinns sont des créatures surnaturelles dont les histoires se transmettent oralement au sein des familles et ils servent à expliquer beaucoup de chose, car souvent invisibles, ils peuvent prendre diverses formes : animales, végétales voir matérielles. Dans le cas présent, sensibilisé par la télévision, la ville, le témoin a une plus large connaissance de son environnement et fait intervenir une explication en rapport avec des expériences militaires. Selon la tradition, les Djinns habitent des endroits déserts, des forets, des cimetières, mais aussi des points d’eau, ce qui explique pourquoi dans cette vallée ou l’eau est présente, on évoque fréquemment leur présence. (Les Djinns qui habitent près des cours d’eau sont appelés « Maritins »). Enfin pour en terminer avec les d’jinns dont le monde musulman admet l’existence, il est évoqué parfois le fait que ces « êtres surnaturels » présents avant l’homme sur terre, qui ont donc acquit des connaissances supérieures aux humains, sont en fait à l’origine du phénomène ovni ! Voilà une explication à laquelle on ne pense que rarement pour donner une solution à ce dossier, véritable énigme de notre temps. Mais évidemment elle est loin de tout expliquer !
Les djinns sont des créatures surnaturelles dont les histoires se transmettent oralement au sein des familles et ils servent à expliquer beaucoup de chose, car souvent invisibles, ils peuvent prendre diverses formes : animales, végétales voir matérielles. Dans le cas présent, sensibilisé par la télévision, la ville, le témoin a une plus large connaissance de son environnement et fait intervenir une explication en rapport avec des expériences militaires. Selon la tradition, les Djinns habitent des endroits déserts, des forets, des cimetières, mais aussi des points d’eau, ce qui explique pourquoi dans cette vallée ou l’eau est présente, on évoque fréquemment leur présence. (Les Djinns qui habitent près des cours d’eau sont appelés « Maritins »). Enfin pour en terminer avec les d’jinns dont le monde musulman admet l’existence, il est évoqué parfois le fait que ces « êtres surnaturels » présents avant l’homme sur terre, qui ont donc acquit des connaissances supérieures aux humains, sont en fait à l’origine du phénomène ovni ! Voilà une explication à laquelle on ne pense que rarement pour donner une solution à ce dossier, véritable énigme de notre temps. Mais évidemment elle est loin de tout expliquer !
(Notre photo, le village de
Lalla Takerkoust)
non desservis par des routes
goudronnées.
Tous
nos remerciements à Mohamed pour n’avoir pas hésité à nous contacter afin de
nous faire connaître cette observation, à Youssef, de nous avoir reçu, expliqué
ce qu’il avait vu mais pour qui ce phénomène n’a guère d’importance et qui
inlassablement poursuit son travail contribuant ainsi largement à la mise en
valeur d’un patrimoine marocain exceptionnel.
Si vous aussi, vous connaissez le témoin d’une observation d’ovni
ou si vous en avez été personnellement le témoin, n’hésitez pas à nous
contacter afin de relater ces faits, qui rejoindront « L’histoire des
OVNIs au Maroc » un ouvrage gratuit accessible sur le net : Notre émail :
lebat1@aol.com
Gérard
LEBAT
OVNI MAROC International
Paris - Marrakech
(1)
source
de l’information : http://profile.madeinmedina.com/fr/article-le-lac-lalla-takerkoust-fraicheur-au-creux-des-montagnes-2010.html
(2)
Les
cartes sont issues de Google Maps
Personnellement,en été 1982,à 60 Km au sud d'une ville du Souss,j'ai vu, vers 02 heures du matin, un objet rond, brillant et lumineux, de différentes couleurs bien distinguées,descendre de l'espace à une vitesse constante et disparait derrière une colline.J'étais en parfaite conscience, d'ailleurs, j'étais en exercice de mes fonctions. j'étais seul et cela m'avait fait très peur et c'était rare que je racontais ce phénomène.il distançait de ma position d'environ 2 km à vol d'oiseau et n'émettait aucun bruit.
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